Ma contribution à votre bien-être... si vous le désirez.![]() Voici une deuxième proposition, pour ce temps particulier. ÉPROUVER VOS RESSENTIS Peut-être pensez-vous que vos émotions, vos sentiments ne sont pas confortables, qu'ils ne sont pas "acceptables" (vis des autres, de la société, de vous même aussi). Il ne s'agit pas de laisser exploser sa colère, par exemple en criant sur l'autre. Non, juste, prenez le temps de l'accueillir en vous, de la remarquer se vivre en vous. "Tiens, une partie de moi a telle émotion...". Il n'y a ni bien, ni mal, ni bon, ni mauvais (il n'y a pas de jugement à ajouter). Il y a ...ce qui se vit en vous dans l'instant et pour l'instant. RESPIREZ ET SOYEZ AVEC. AUTORISEZ-VOUS LA VULNÉRABILITÉ. Parce que vous l'êtes, nous le sommes tous en tant qu'êtres humains. Cela vous fera vivre de plus en plus de DOUCEUR dans votre vie... Ne me croyez pas sur parole : EXPERIMENTEZ.. Puis SOYEZ CURIEUX. Soyez curieux de ce que vous êtes en train de vivre. En vérité, d'où vient ce ressenti ? Laissez venir à vous une image, une situation... Et à nouveau ACCUEILLEZ. Avec BIEN-VEILLANCE, COMPASSION pour l'être que vous étiez, toujours là présent... Si vous avez quelques difficultés, je suis là afin de vous écouter (gratuitement et dans la limite des ma disponibilité, dans cette période), et vous aider à vous accueillir avec tendresse. Avec toute ma profonde affection. Image Pixabay - Gerd Altman
Ma contribution à votre bien-être en ce temps particulier... si vous le voulez bien.![]() Je vous invite, en ce temps particulier, à vous poser, à vous déposer et à vous reposer. Je sais que ce n'est pas toujours facile. Aussi ai-je l'élan de vous proposer des ressources faciles, simples, qui prennent peu de temps... quelques secondes parfois même... pour vivre la détente... La vie connait le chemin... Il suffit de se détendre. Oui mais, comment ? ! SILENCE, PRÉSENCE DU COEUR, ACCUEIL DE TOUT CE QUI SE VIT EN SOI. Je vous propose cette première pratique. Celle de prêter attention sur les mouvements de votre RESPIRATION... Sans vouloir rien changer. Juste Être présent-e à ce qui se vit dans l'instant. Au delà de l'impact sur notre système nerveux, sur notre corps, ce simple moment de présence permet de faire cesser, ne serait-ce qu'un temps, ce bavardage dans notre mental. Cela vous parait trop simple pour être efficace ? Je vous invite à vivre l'expérience... sans rien chercher à obtenir et la reproduire autant de fois que vous le souhaitez dans la journée, dans l'heure, dans la minute. PRENEZ SOIN DE VOUS. Avec toute mon affection. : L'ÉLÉPHANT ENCHAINÉ![]() Voici un extrait du livre inspirant de Jorge Jorge Bucay - Laisse moi te raconter... les chemins de la vie. Demian est un jeune garçon qui consulte son psy régulièrement et lui fait part de ses interrogations, de ses doutes, de ses peurs. En écho à chaque problème (préparer un examen, déclarer son amour, les relations aux autres, parents et amis...), "le gros", comme il nomme son psy (et de fait, Jorge Bucay n'est pas mince), lui raconte une histoire. "Laisse-moi te raconter..." Et, sans attendre mon assentiment, il se mit à raconter : " Quand j'étais petit, j'adorais le cirque, et ce que j'aimais par-dessus tout, au cirque, c'étaient les animaux. L'éléphant en particulier me fascinait ; comme je l'appris par la suite, c'était l'animal préféré de tous les enfants. Pendant son numéro, l'énorme bête exhibait un poids, une taille et une force extraordinaires... Mais tout de suite après et jusqu'à la représentation suivante, l'éléphant restait toujours attaché à un petit pieu fiché en terre, par une chaîne qui retenait une de ses pattes prisonnière. Mais ce pieu n'était qu'un minuscule morceau de bois à peine enfoncé de quelques centimètres dans le sol. Et bien que la chaîne fût épaisse et résistante, il me semblait évident qu'un animal capable de déraciner un arbre devrait facilement pouvoir se libérer et s'en aller. Le mystère reste entier à mes yeux. Alors, qu'est ce qui le retient ? Pourquoi ne s'échappe t-il pas ? A cinq ou 6 ans, j'avais encore une confiance absolue dans la science des adultes. J'interrogeai donc un maître, un père ou un oncle sur le mystère du pachyderme. L'un d'eux m'expliqua que l'éléphant ne s'échappait pas parce qu'il était dressé. Je posais alors la question qui tombe sous le sens : S'il est dressé, pourquoi l'enchaîne-t-on ? Je ne me rappelle pas qu'on m'ait fait une réponse cohérente. Le temps passant, j'oubliai le mystère de l'éléphant et de son pieu, ne m'en souvenant que lorsque je rencontrais d'autres personnes qui un jour, elles aussi, s'étaient posé la même question. Il y a quelques années, j'eus la chance de tomber sur quelqu'un d'assez savant pour connaître la réponse : L'éléphant du cirque ne se détache pas parce que, dès tout petit, il a été attaché à un pieu semblable. Je fermai les yeux et j'imaginai l'éléphant nouveau-né sans défense, attaché à ce piquet. Je suis sûr qu'à ce moment l'éléphanteau a poussé, tiré et transpiré pour essayer de se libérer, mais que, le piquet étant trop solide pour lui, il n'y est pas arrivé malgré tous ces efforts. Je l'imaginai qui s'endormait épuisé et, le lendemain, essayait à nouveau, et le surlendemain... et les jours suivants... Jusqu'à ce qu'un jour, un jour terrible pour son histoire, l'animal finisse par accepter son impuissance et se résigner à son sort. Cet énorme et puissant pachyderme que nous voyons au cirque ne s'échappe pas, le pauvre, parce qu'il croit en être incapable. Il garde le souvenir gravé de l'impuissance qui fut la sienne après sa naissance. Et le pire, c'est que jamais il n'a sérieusement remis en question ce souvenir. Jamais, jamais il n'a tenté d'éprouver à nouveau sa force... "C'est ainsi Demian ! Nous sommes tous un peu comme l'éléphant du cirque : nous allons de par le monde attachés à des centaines de pieux qui nous retirent une partie de notre liberté. "Nous vivons avec l'idée que "nous ne pouvons pas" faire des tas de choses, pour la simple et bonne raison qu'une fois, il y a bien longtemps, quand nous étions petits, nous avons essayé et n'avons pas réussi." "Alors, nous avons fait la même chose que l'éléphant, et nous avons gravé ce message dans notre mémoire : je ne peux pas, je n'en suis pas capable et jamais je n'en serai capable. "Nous avons grandi en portant ce message que nous nous sommes imposé à nous-mêmes, et c'est pourquoi nous n'avons plus jamais essayé de nous libérer de ce pieu. Lorsque parfois, nous sentons nos fers et faisons sonner nos chaines, nous regardons le pieu du coin de l'oeil et pensons : J'EN SUIS INCAPABLE, JAMAIS JE N'EN SERAI CAPABLE. ...La seule façon pour toi de savoir si tu peux y arriver, c'est d'essayer à nouveau en y mettant tout ton coeur...". TOUT TON COEUR ! Ce matin, j'ai reçu un conte écrit par François DELIVRÉ.
C'est une personne qui m'inspire...Aussi, ai-je prêté attention à son écrit... Je me suis laissée imprégner de ses mots. J'ai vu où ils pouvaient me toucher... J'ai l'élan de vous partager ces quelques phrases. Qu'elles puissent aussi vous toucher, vous inspirer. Je vous souhaite une très belle journée, emplie d'amour et de liberté. De pardon peut-être aussi... à l'autre et/ou à soi... |
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Janvier 2021
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